ONU Femmes célèbre les Jeunes activistes pour l’égalité des sexes menant un impact local, mondial et systématique

Image: Un photomontage des Jeunes activistes sur le genre au niveau national   

Les jeunes activistes sur le genre au niveau national (NGYA) et les adolescentes leaders de la Génération Égalité ont repoussé les limites de ce que signifie s’impliquer dans un engagement transformateur et significatif dans les mouvements féministes. Au cours des deux dernières années, et dans le cadre de leur travail stratégique, les NGYA et les adolescentes leaders ont eu un impact sur l’agenda mondial de l’égalité des sexes de nombreuses manières, que ce soit au sein des forums internationaux et intergouvernementaux qu’en termes de plaidoyer local et communautaire. Nous célébrons ce travail et l’impact observé aux niveaux local, national, régional et international.

« [Mon rôle de NGYA] m’a fourni une plateforme pour promouvoir directement l’égalité des sexes », partage Atukwase, une NGYA d’Ouganda. « C’est un aspect critique à la fois en Ouganda et dans le monde. C’est un droit humain et essentiel pour parvenir à la paix et au développement durable. Rym, une adolescente leader du Liban, a déclaré : « Ce qui a été particulièrement précieux, c’est l’opportunité d’exprimer les préoccupations de mes pairs et d’émettre des suggestions tout en sachant que des gens nous écoutent. » Elle poursuit : « c’est important pour moi parce que [nous savons] que les jeunes méritent de faire partie du processus décisionnel et de tenir les décideurs responsables », tandis qu’Oindrila, une adolescente indienne leader, note : « J’ai commencé à croire plus que jamais au pouvoir des filles. Cela m’a donné la force d’entamer des dialogues sur le féminisme, l’action climatique et l’intersectionnalité dans mes organisations et ma communauté. Au-delà du travail au niveau mondial, la majorité des NGYA et des adolescentes leaders s’organisent et se mobilisent également au niveau régional et local, partageant leurs messages sur l’égalité des sexes au niveau local. Sarah, une NGYA du Nigéria, explique : « J’ai pu utiliser [ce] rôle [et] la plateforme pour en faire plus pour organiser et mettre en place des initiatives, coordonner et obtenir des commentaires et des réponses avec les jeunes femmes. » Selin, une NGYA de Türkiye, a partagé ceci : « plus ONU Femmes s’engage auprès des jeunes, plus ONU Femmes a d’impact. Au moment où [ma communauté] s’est rendu compte que je travaillais avec ONU Femmes, les gens ont commencer à écouter, puis ONU Femmes s’est rendu compte que leurs voix étaient entendues, ce qui a mené ONU Femmes à réaliser davantage de progrès en faveur des jeunes.

Alors que les NGYA et les adolescentes leaders continuent de faire progresser leur plaidoyer du niveau mondial au niveau local, elles ont également eu un impact significatif sur le travail d’ONU Femmes. Makhabbat, une NGYA du Kazakhstan, a noté que les NGYA ont « informé [ONU Femmes] sur l’activisme des jeunes et que notre voix peut faire partie du travail [d’ONU Femmes] ». Elle poursuit : « Lorsque nous sommes considérés comme des partenaires, nous avons un sens plus profond de la coopération ». Ishaan, une NGYA du Royaume-Uni ajoute : « Nous avons vu le début d’un changement très puissant allant de la simple participation des jeunes à la mise en place d’aspects de co-direction et de co-création, ce qui a servi de catalyseur pour le travail d’ONU Femmes. »
 

L’impact des NGYA et des adolescentes témoigne de l’engagement des jeunes leaders à faire progresser l’égalité des sexes pour toutes et tous. En outre, leur approche intersectionnelle et intergénérationnelle du plaidoyer a attiré l’attention non seulement sur leurs efforts individuels, mais aussi sur le groupe plus large des NGYA et des adolescentes leaders, en préservant la place qui leur revient à la table des décideurs. Cependant, davantage doit être réalisé. ONU Femmes est engagée à la promotion d’un jeune leadership féministe fondé sur les principes de copropriété, de cocréation, de participation substantielle, de conception et de leadership transformateurs, d’intersectionnalité et de responsabilisation.

Construire des écosystèmes de soutien pour les personnes survivantes de violences sexuelles et basées sur le genre (SGBV) : Centre pour la justice féministe, One Future Collective

Par: Vandita Morarka, Fondatrice, PDG de One Future Collective

 

Image: Our Future Collective

 

Le Centre pour la justice féministe de One Future Collective est né de la reconnaissance qu’il n’y a pas et ne peut pas y avoir de définition universelle de la justice, non seulement pour les survivantes de violences sexuelles et basées sur le genre (SGBV), mais aussi pour le monde. Nous pensons que la compréhension actuelle de la « justice » limite les options auxquelles les survivantes de VSBG ont accès - le système juridique formel - un système qui est souvent inaccessible, coûteux et un site qui peut provoquer un nouveau traumatisme excessif parmi les survivantes de VSBG. Cela est souvent limitant et très éloigné de certains des besoins que les survivantes peuvent avoir, notamment le besoin de soins de santé mentale et physique, de services de résolution de conflits et de désescalade, et parfois même d’une opportunité de dialoguer de manière constructive avec les auteurs de préjudices.

Nous adoptons une approche à plusieurs volets pour construire un monde adapté aux besoins des survivantes. Nous offrons des services directs par le biais de notre ligne d’assistance FemJustice. Grâce à cette ligne d’assistance, nous offrons gratuitement aux survivantes un soutien juridique, psychologique et social. De plus, nous nous engageons également à offrir des services de médiation et de résolution de conflits pour nous assurer que les survivants sont en mesure de prioriser et d’assurer leur propre sécurité et bien-être. Notre objectif est d’intégrer un soutien à la justice réparatrice et transformatrice pour les survivants de VSBG au sein du système afin de garantir que tous les survivantes qui nous approchent aient quelque chose à emporter avec eux. Jusqu’à présent, nous avons pu fournir un soutien direct à plus de 10 000 survivantes de la VSBG.

Nous investissons également dans le renforcement institutionnel en travaillant avec tous les prestataires de services susceptibles d’offrir des services aux survivantes de violences sexuelles et basées sur le genre par le biais du plaidoyer ainsi que du renforcement des connaissances. Nous avons construit et continuerons à construire un réseau soutenu de différents praticiens dans le cadre du réseau des praticiens FemJustice qui compte actuellement plus de 600 membres. Jusqu’à présent, notre travail avec les survivantes a mis en évidence la nécessité pour nous d’aller au-delà du travail avec les prestataires de services traditionnels et de développer des capacités au sein de différentes micro-communautés pour être en mesure d’organiser, de développer et de mettre en œuvre une stratégie d’intervention, de réduire l’intensité de la violence et de faciliter une sortie sûre pour les survivantes de VSBG. Nous mettons actuellement en place un réseau de bénévoles de soutien social distribué qui est accessible au niveau régional et a la capacité de fournir aux survivantes un soutien immédiat et contextuellement pertinent.

Notre monde idéal est celui dans lequel les VSBG n’existent pas. Nous réalisons qu’au fur et à mesure que nous travaillons à en faire une réalité, nous ne pouvons pas regarder au-delà de la situation actuelle dans laquelle la violence sexuelle et basée sur le genre est endémique. Notre travail au Centre pour la justice féministe est guidé par la motivation d’offrir aux survivantes de violences basées sur le genre le monde qu’elles méritent - un monde où leur sécurité et leur bien-être sont prioritaires et accessible à tous les niveaux et à tout moment.

Pour participer et en savoir plus sur notre travail, inscrivez-vous à notre liste d’envoi.

 

Je suis un champion #HeForShe

Par: Bright Sibanda (BpS AVOCAT) - Jeune leader de la Coalition d’action sur la violence basée sur le genre

 

Le changement doit se produire maintenant ! Cette chanson est destinée à sensibiliser sur l’élimination de la violence sexuelle et basée sur le genre contre les femmes et les filles. Elle cherche à attirer l’attention des hommes et des garçons et à les engager en tant que défenseurs et agents de changement solidaires des femmes et des filles pour faire progresser l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes (GEWE). Les cas de VBG augmentent chaque jour et il est temps d’agir. Dites non à la VBG ! Tous les hommes en action !

Écoutez ici et faites passer le message !

 

La dette est une question féministe

Par: Selamawit Tezera

 

Image: FEMNET

Avez-vous déjà imaginé un pays sans dette où le système scolaire et éducatif public, les infrastructures, les hôpitaux publics et les services de santé ne seraient pas compromis ? Avez-vous déjà imaginé la suppression des agences de notation de crédit ? Vous êtes-vous déjà demandé si chaque coin de l’Afrique avait de l’eau potable, des services d’électricité, une éducation de qualité et des services de santé ? Avez-vous déjà vu le gouvernement rendre compte de ses emprunts devant le parlement ? Si jamais on vous demandait d’écrire à votre futur enfant au sujet d’un pays sans dette, quelle serait cette lettre ?

Dans une lettre à ma future fille sur ce à quoi ressemble une Afrique sans dette, j’imagine ce que ce serait de vivre dans un continent où ses gouvernements ont payé toutes leurs dettes et utilisé leurs revenus de manière efficace. Je ne peux pas m’empêcher de penser à l’énorme impact que cela aurait sur toutes les filles vivant dans les zones rurales, où le gouvernement ne compromettra pas les ODD au nom du remboursement de la dette et des services de la dette. J’imagine également comment cela ouvrira des opportunités à toutes les filles lorsqu’elles entreront sur le marché du travail alors que je commence à esquisser à quoi ressembleront leur retraite et leur vieillesse. La dette affecte ce qui est disponible pour être investi dans les besoins et les droits des femmes et des familles dans le pays. La dette est une question féministe.

En tant que collectifs féministes, nous sommes audacieux pour offrir une perspective alternative aux problèmes actuels ; de la politique, à l’actualité, à l’emploi et aux lois du travail. Mais, trop souvent, notre analyse reste muette, ou au mieux est très mince, sur les questions macroéconomiques. Les questions macroéconomiques telles que la dette ont été considérées comme des concepts qui ne peuvent être compris que par quelques économistes. Cependant, ils ont un impact énorme au niveau individuel. Les preuves montrent qu’il y a un manque d’informations et de connaissances contextualisées basées sur l’analyse féministe des questions et processus critiques de politique macroéconomique tels que les flux financiers illicites, le commerce informel, le travail de soins non rémunéré, le travail décent, la justice fiscale, les institutions financières internationales dans la région, et sur le continent, pour éclairer les stratégies de plaidoyer en faveur de la justice économique des femmes. Sur tout le continent africain, un grand nombre de femmes sont engagées dans des activités de soins informelles et non rémunérées. Environ 90 % des femmes employées occupent des emplois informels. Cela signifie que la comptabilité macroéconomique du produit intérieur brut efface leur contribution pour leur pays car elle ne tient pas compte du travail de soins non rémunéré et de l’emploi informel. Un grand pourcentage du fardeau de cette dette repose sur les épaules des femmes, mais l’argent prêté sert rarement à soutenir le travail des droits des femmes. Cela signifie que de nombreux services, y compris des services complets de santé sexuelle et reproductive, ne sont largement pas financés. Le traitement des questions macroéconomiques est l’une des priorités des gouvernements. Pour des pays comme l’Éthiopie, la dette extérieure est considérée comme le sauveur économique du gouvernement pour couvrir le déficit budgétaire élevé, comme dans la plupart des pays du monde. La dette a son impact cumulatif pendant des décennies. La question de savoir quelle est la conséquence genrée de la crise de la dette n’a pas été examinée correctement. Il est particulièrement difficile pour les gouvernements de tenir leurs engagements en matière d’égalité des sexes et de promotion des droits des femmes en raison du fardeau qu’ils portent en remboursant la dette publique. La dette affecte le coût de l’argent, et donc l’économie et la création d’emplois pour ses habitants. Deux composantes majeures de l’architecture de la dette qui doivent être discutées ; une architecture financière mondiale brisée qui profite de la dette et un cadre institutionnel et politique faible au niveau national pour tenir le gouvernement responsable de sa dette. Il y a eu très peu de mouvement pour réformer davantage l’architecture de la dette et ses acteurs tels que le comportement du marché du crédit, les agences de notation de crédit, les mécanismes d’arbitrage et de médiation pour la restructuration, les clauses de sauvegarde dans les contrats de dette. Ce système a permis l’endettement systématique des pays vulnérables du continent, empruntant à différents niveaux avec peu de responsabilité. La dette est un problème féministe et doit être abordée !

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Devenez signataire ! Pacte sur les femmes, la paix, la sécurité et l’action humanitaire

Crédit image : Pacte sur les femmes, la paix, la sécurité et l’action humanitaire »

Faites-vous partie d’une organisation ou d’un réseau dirigé par des jeunes ou des jeunes femmes ?

Votre organisation/réseau travaille-t-elle/il sur la consolidation de la paix, l’égalité des sexes et l’action humanitaire ? Souhaitez-vous que votre organisation/réseau fasse partie d’un groupe d’acteurs du changement engagés qui s’efforcent de créer un changement significatif et sensible au genre pour les femmes de tous âges et de tous horizons ?

Si tel est le cas, le Pacte sur les femmes, la paix et la sécurité et l’action humanitaire peut être une plateforme formidable et unique à laquelle votre organisation/réseau peut adhérer.

Le Pacte sur les femmes, la paix, la sécurité et l’action humanitaire (Pacte WPS-HA) est le résultat multi-acteurs et interrégional innovant du Forum Génération Égalité. Le Pacte vise à conduire un mouvement mondial d’action sur les engagements existants sur les femmes, la paix et la sécurité et la sensibilité au genre dans l’action humanitaire aux niveaux mondial, régional, national et local.

Qui peut devenir signataire du pacte ?

Les particuliers ne peuvent pas adhérer au Pacte, cependant, si vous faites partie de l’une des parties prenantes ci-dessous, votre entité peut adhérer au Pacte.

• Organisations et réseaux de jeunes
• Organisations et réseaux de la société civile
• Gouvernements
• Entités onusiennes
• Institutions académiques
• Le secteur privé
• Organisations internationales ou régionales

En tant que plateforme inclusive, le Pacte met fortement l’accent sur l’exploitation d’un engagement intergénérationnel significatif à travers son mandat et ses actions. Le cadre du Pacte comporte 10 actions spécifiques aux jeunes et toutes les actions à travers le cadre ont un impact sur les jeunes femmes. Bien que le Pacte ne fournisse pas de financement direct aux Signataires pour mettre en œuvre leurs actions, les Signataires sont encouragés à travailler ensemble et à former des partenariats pour mettre en œuvre leurs actions communes.

Si vous voulez devenir signataire du Pacte, consultez le Site Internet du Pacte et rejoignez le mouvement.

 

Soyez prêt.es : Le parcours vers la CSW67 débute

Image: NGO/CSW67

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• La soixante-septième session de la Commission de la condition de la femme (CSW67) se tiendra du 6 au 17 mars 2023, réunissant des représentants des États membres, des entités des Nations Unies et des organisations non gouvernementales (ONG) accréditées par l’ECOSOC de toutes les régions du monde. Le prochain thème prioritaire sera « L’innovation et le changement technologique, et l’éducation à l’ère numérique pour parvenir à l’égalité des sexes et à l’autonomisation de toutes les femmes et filles ».
• Les candidatures pour organiser des événements parallèles pendant le Forum ONG/CSW pendant la session sont maintenant ouvertes et se poursuivront jusqu’au 5 décembre. Les organisations de la société civile peuvent demander à organiser des événements parallèles, quel que soit leur statut ECOSOC. Bien que les organisations puissent postuler pour un seul événement en personne, elles peuvent postuler pour plus d’un événement virtuel. Inscrivez-vous ici pour des événements en personne et des événements virtuels. Pour toutes questions sur les événements parallèles, veuillez envoyer un e-mail à : info@ngocsw.org.
• Les préparatifs pour la CSW ont débuté. Préparez-vous à vous engager dans des consultations nationales. 45 % des internautes dans le monde ont moins de 25 ans et 30 % des jeunes du monde sont actifs en ligne depuis au moins cinq ans^[1]. Avec le taux croissant de jeunes utilisant la technologie, Internet joue un rôle central dans la montée en puissance des jeunes à l’échelle mondiale et les a aidés à se mobiliser, à collaborer et à partager une plateforme pour leurs voix. Bien que des progrès significatifs aient été réalisés dans la capacité des jeunes à apprendre et à se connecter les uns aux autres, la fracture numérique reste une préoccupation majeure en matière de droits humains. Votre participation et votre engagement sont cruciaux dans l’élaboration de recommandations pour la 67^e session de la Commission. En cas de questions, veuillez nous contacter via youth.engage@unwomen.org.

• Regarder ici.

  Titre : Opportunités à venir

• Plan d’investissement pour les adolescentes - Comité consultatif pour les adolescentes (10 à 19 ans) et (20 à 24 ans)
• Département de la communication globale - Stagiaire en information publique
• Département des opérations de paix - Stagiaire en affaires politiques
• Département des opérations de paix - Stagiaire en information publique
• Office du Commissaire aux droits de l’homme - Stagiaire en droits humains
• Bureau du Représentant spécial du Secrétaire général sur la violence contre les enfants - Stagiaire en droits humains
• Impact universitaire des Nations Unies - Bourse du millénaire
• UNESCO MGIEP - Programme Youth Waging Peace Ambassadors
• PNUD - Stagiaire Communication Digitale et Réseaux Sociaux
• PNUD - Stagiaire en visualisation de données
• PNUD – Stagiaire Conscious Food System Alliance (COFSA)
• Réseau uni des jeunes artisans de la paix - Coordinatrice/Coordinateur en communications
• Programme des jeunes professionnels de l’ONU - Affaires légales
• Programme des jeunes professionnels de l’ONU - Bibliothèque et gestion de l’information

• Titre : Ressources

• Le Fonds International Trans (ITF) a le plaisir d’annoncer son 7^e cycle de subventions. Les candidatures sont les bienvenues pour les organisations dirigées par des personnes trans avec des budgets inférieurs à 100 000 dollars US basés dans n’importe quelle région du monde. La date limite pour les candidatures est le 12 décembre 2022. Candidatez ici.
• Youth4COP27 a produit une boîte à outils qui comprend un calendrier de tous les événements axés sur les jeunes à la COP 27, un calendrier des nombreux pavillons et les conseils et astuces dont vous avez besoin pour tirer le meilleur parti de votre plaidoyer au forum mondial sur le climat est disponible ici.
• Le Bureau régional d’ONU Femmes pour l’Europe et l’Asie centrale organisera un Forum des jeunes sous l’égide des NGYA de la Génération Égalité du 6 au 8 décembre à Istanbul, en Turquie. Surveillez cet espace pour plus d’informations sur les modalités d’engagement.
• Women Win a officiellement lancé son FREE STEM Fund qui se concentre sur la réduction de l’écart entre les sexes dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques. Cette initiative est ouverte aux initiatives, groupes, collectifs et organisations enregistrés et non enregistrés axés sur les droits des filles, des femmes, des personnes transgenres et non binaires basées dans les pays du Sud. Trouvez plus d’informations ici sur la manière de candidater et de soumettre une candidature d’ici le 1er décembre.
• Un appel à propositions pour soutenir les organisations de la société civile afghane et leurs efforts pour faire progresser les droits des femmes et l’égalité des sexes en Afghanistan, en mettant l’accent sur les petites organisations de la société civile dirigées par des femmes et les droits des femmes, est ouvert. En savoir plus sur l’éligibilité.
• Vous souhaitez développer des solutions « gagnant-gagnant » pour l’équité entre les sexes et la résilience climatique dans votre communauté ? Candidatez dans le cadre du Défi des solutions climatiques pour les jeunes ! Les meilleures équipes remporteront un prix de financement pour la mise en œuvre. Inscrivez-vous.
• L’Alliance des civilisations des Nations Unies (UNAOC) et le groupe BMW, avec le soutien d’Accenture, ont lancé l’appel à candidatures pour le Hub d’innovation intercultuelle. Les initiatives locales, y compris les organisations dirigées par des jeunes, qui encouragent la compréhension interculturelle et promeuvent des sociétés inclusives et diversifiées grâce à des méthodes innovantes sont encouragées à postuler. La date limite de candidature est le vendredi 2 décembre à 17 h 00 (HNE).